Jesuis chez moi, Ă  Nantes parce que j’ai mon petit qui va Ă  l’école donc on est restĂ© en famille. Pour le business, je vois quand mĂȘme des clients en physique (en Ă©tant trĂšs vigilante) donc c’était important de rester disponible. vv. Si tu devais te dĂ©crire en 3 mots ? En premier, je dirais Énergie, apparemment j’en dĂ©gage MAISmon employeur est Ă  plus de 30 kms de chez moi (pour 2019). J'ai tĂ©lĂ©phonĂ© Ă  fois. La premiĂšre fois, on m'a dit que si mon employeur Ă©tait Ă  plus de 30 kms, c'Ă©tait bon, c'Ă©tait ça qui faisait foi. Enperiode d’essai mon employeur met fin a celle ci , et me dit que je peux rester chez moi pour les 15 jours du delais de prevenance et que je serais payes . mon salaire est un salaire variable : fixe , com perso, com magasin . lors de mon solde de - PosĂ©e par Benjamin modĂšlede mail pour transmettre des documents pdf; rĂ©glage fin de course bso warema; mon employeur me dit de ne pas venir travailler. attestation de tĂ©moin format word / universitĂ© claude bernard lyon 1 ecandidat Monpatron souhaite vendre une partie de sa clientĂšle pour garder seulement le second cabinet qui l a achetĂ© il y a un an. Il va vendre le reste de sa clientĂšle a un autre expert comptable Il me propose ou de me vendre a l autre cabinet ou de me faire rupture conventionnelle ou de me faire un licenciement Ă©conomique. Vay Tiền TráșŁ GĂłp 24 ThĂĄng. Perdre son emploi, cela n'arrive pas qu'aux autres. Vous avez donc tout intĂ©rĂȘt Ă  connaĂźtre les bonnes rĂ©flexes en cas de licenciement. Cela vous permettra d'ĂȘtre acteur plutĂŽt que victime d'une procĂ©dure souvent douloureuse. 1. Ne pas se rendre Ă  l'entretien de licenciement seul Quand la lettre recommandĂ©e arrive, le salariĂ© dispose en gĂ©nĂ©ral de cinq jours, avant le rendez-vous, pour prendre une dĂ©cision importante. " Il peut se faire accompagner Ă  l'entretien de licenciement par un dĂ©lĂ©guĂ© du personnel, voire n'importe quel employĂ© de l'entreprise, explique Albert Hamoui, avocat en droit social. S'il n'y a pas de dĂ©lĂ©guĂ©, il peut aussi contacter un conseiller du salariĂ© extĂ©rieur Ă  l'entreprise et bĂ©nĂ©vole. Ce tĂ©moin rĂ©digera un compte-rendu de l'entrevue qui pourra servir plus tard. " "Pour contester le licenciement, [...] mieux vaut attaquer au plus vite pour ĂȘtre crĂ©dible." 2. Prendre un avocat sans trop payer Sans surprise, notre juriste recommande de contacter au plus vite
 un avocat. " Je le conseille d'autant plus vivement que c'est souvent presque gratuit. Beaucoup de particuliers disposent, sans le savoir, d'une assistance juridique avec leur carte bancaire ou leur assurance habitation. " 3. RĂ©unir des preuves au plus vite Un avocat est censĂ© vous dire si, Ă  dĂ©faut de sauver votre place, vous pouvez attaquer votre employeur aux prud'hommes. Mais encore faut-il avoir des preuves. " Le Conseil de prud'hommes statuera au vu des preuves concrĂštes en sa possession, insiste l'avocat blogueur Thomas Roussineau. DĂšs que le licenciement semble imminent, collectez le maximum d'indices, notamment des Ă©changes de mails que vous ne pourrez pas rĂ©cupĂ©rer ensuite. " 4. NĂ©gocier une indemnitĂ© transactionnelle " Outre les indemnitĂ©s lĂ©gales, fixĂ©es par la loi ou la convention collective, le salariĂ© peut nĂ©gocier une transaction supplĂ©mentaire s'il juge le licenciement abusif ou s'il souhaite rĂ©parer un quelconque prĂ©judice, poursuit le juriste. Et l'employeur peut accepter de verser une autre indemnitĂ© transactionnelle, soit quelques mois de salaire en plus souvent, plutĂŽt que de prendre le risque de perdre davantage aux prud'hommes. " 5. Faire rĂ©diger des attestations sans tarder Si un salariĂ© signe une transaction, il s'engage Ă  ne pas porter son licenciement devant la justice. Mais si l'employeur refuse et le salariĂ© souhaite le poursuivre aux prud'hommes, il a intĂ©rĂȘt Ă  collecter des attestations au plus vite. " Il s'agit de demander Ă  des collĂšgues ou ex-collĂšgues de tĂ©moigner de vos conditions de travail, explique Alina Paragyios, avocate spĂ©cialisĂ©e en droit du travail. Plus le temps passe, moins les gens sont motivĂ©s. Si quelqu'un vous donne son accord, insistez – gentiment – pour avoir le papier dans la semaine
 " 6. Saisir rapidement le Conseil de prud'hommes Pour contester le licenciement, il faudra aussi saisir le Conseil de prud'hommes au plus vite. " Il y a une prescription de trois ans, mais mieux vaut attaquer au plus vite pour ĂȘtre crĂ©dible, poursuit-elle. C'est souvent long, mais si le motif du licenciement est invalidĂ©, la loi prĂ©voit, dans les entreprises de plus de onze salariĂ©s, le versement d'une indemnitĂ© minimale Ă©gale Ă  six mois de salaire brut au salariĂ© lorsqu'il compte plus de deux ans d'anciennetĂ©. " 7. Occupez-vous de vous ! Reste Ă  gĂ©rer la transition. " Si la personne licenciĂ©e va aux prud'hommes, elle doit impĂ©rativement se recentrer sur elle-mĂȘme et faire le point sur ses envies, recommande Marianne Perrette, coach chez Coaching2vie. Alors que la procĂ©dure suit son cours, il faut parvenir Ă  s'en dĂ©tacher. Si vous pensez que c'est l'affaire de votre vie, il n'en est pas de mĂȘme pour votre ex-employeur ni pour votre avocat. Il faut trouver le mĂȘme dĂ©tachement pour rebondir. Cesser d'ĂȘtre victime pour redevenir acteur de son destin. " 8. Rester ouvert Ă  une issue amiable Alina Paragyios confirme. D'autant plus que le salariĂ© n'est pas Ă  l'abri de quelques surprises. " Parfois les plaignants s'accrochent Ă  l'idĂ©e d'une rĂ©paration devant la justice alors que l'ex-employeur accepte parfois tardivement, finalement, de nĂ©gocier. J'ai dĂ©jĂ  vu des protocoles transactionnels signĂ©s la veille d'une audience aux prud'hommes. Les plaignants sont parfois frustrĂ©s alors que ces victoires me semblent bien plus fortes dans la mesure oĂč l'autre partie reconnaĂźt ses torts d'elle-mĂȘme. " 9. Utilisez votre CPF Votre ancien employeur peut vous aider, malgrĂ© lui, Ă  tourner la page. " Le futur licenciĂ© a intĂ©rĂȘt Ă  regarder s'il a des heures de CPF non utilisĂ©es, conseille HĂ©lĂšne Picot, auteure du guide Trouvez votre voie et rebondissez ! . Elles peuvent s'Ă©lever Ă  120 heures maximum, ce qui reprĂ©sente en gĂ©nĂ©ral une enveloppe entre 800 et 1 500 euros qui peut financer un outplacement pour faciliter sa transition. Il faut juste penser Ă  le demander pendant le prĂ©avis. " 10. Se dire aussi que c'est
 une chance Cette coach invite ses clients Ă  rĂȘver d'une nouvelle vie. " On a la chance, en France, d'ĂȘtre bien protĂ©gĂ©, observe-t-elle. DĂšs lors il ne faut pas se laisser gagner par le stress et se poser les bonnes questions, c'est-Ă -dire non pas quand je vais retravailler mais qu'est-ce que je veux vraiment faire. MĂȘme si un licenciement est douloureux, il faut aussi se dire que, dans certains cas, c'est peut-ĂȘtre une chance. " Je viens d’avoir une retention de permis de conduire en conduisant mon vehicule personnel, etant chauffeur livreur en cdi mon employeur m’a dit par sms, un apres midi alors que j’etais au travail, de rester chez moi les jours suivants. Je peux tout a fait me rendre sur mon lieu de travail, et travailler en doublon avec un collegue, ce que je fais depuis plusieurs mois car mon role est de remplacer mes collegues s’ils sont amenĂ©s a etre absents. Mon employeur a t il le droit de me demander de rester chez moi? Merci d’avance pour votre reponse. PostĂ© Il y a 2 ans RĂ©ponses 1 Bonjour, Votre permis Ă©tant nĂ©cessaire pour l’exĂ©cution de votre travail, vous ne pouviez pas l’exĂ©cuter pendant la rĂ©tention de votre permis. VĂ©rifiez les clauses de votre contrat de travail, il existe peut ĂȘtre une clause sur la rĂ©tention du permis et les consĂ©quences. Mais si votre travail consiste uniquement Ă  la conduite, votre employeur pouvait vous demander de rester chez vous pendant la rĂ©tention. J’espĂšre vous avoir aidĂ© et n’hĂ©sitez pas Ă  nous recontacter si vous avez d’autres questions ! a rĂ©pondu Il y a 2 ans Vendredi 30/11 entretien prĂ©alable avec mon responsable, assistĂ©e d’un de mes collĂšgues dĂ©lĂ©guĂ© du personnel. Le motif annoncĂ© est le suivant manque d’implication dans le cadre d’une prospection insuffisante pas de faute. Mon responsable me dit qu’il n’est pas forcĂ©ment d’accord avec le terme "manque d’implication". On me reproche un manque de visites clients, apparemment dĂ» Ă  une mauvaise organisation. Mon responsable me dit que mon unique homologue dans la sociĂ©tĂ© atteint son quota de visites et que ça fonctionne trĂšs bien. Je me doutais qu’il essayerait de m’atteindre par ce biais, je m’étais donc munie de documents comparatifs je lui indique que mon homologue rĂ©alise peut-ĂȘtre plus de CA que moi je ne sais pas, je n’ai pas accĂšs Ă  ses chiffres, mais que ce soit l’an dernier ou depuis mon retour cette annĂ©e, son nombre de visites n’est pas supĂ©rieur au mien. Lundi 03/12, j’envoie un mail Ă  mon responsable l’informant que, vu le contexte, je n’avais pas anticipĂ© ma prise de rdv, ne sachant pas si je serais encore en poste. Je lui demande de me dire concrĂštement si je dois continuer Ă  appeler mes clients pour fixer des rdv? Il me rĂ©pond que suite Ă  l’entretien du 30/11, aucune dĂ©cision dĂ©finitive n’a Ă©tĂ© prise et que donc il ne voit pas pourquoi je n'honorerais pas les rdv inscrits Ă  mon prĂ©visionnel de dĂ©cembre. J’espĂ©rais recevoir ma lettre de licenciement cette fin de semaine pour que mon calvaire cesse enfin et que je puisse faire valoir mes droits devant les Prud’Hommes normalement ils pouvaient me l’envoyer Ă  partir d’hier, mais je commence Ă  craindre qu’ils finissent par renoncer, faute de preuves tangibles. Que faire si jamais ils reviennent sur leur dĂ©cision? Je sais depuis presque 1 mois que je ne suis plus dans les projets 2013 et je suis toujours lĂ  Ă  aller voir mes clients comme si de rien n’était, c'est vraiment invivable Je ne me vois plus du tout travailler avec ces gens-lĂ , pour ĂȘtre commercial il faut ĂȘtre motivĂ©, avoir confiance en soi et foi en son entreprise alors que moi j’ai le moral et l’estime de moi-mĂȘme dans les chaussettes. Si finalement ils renoncent, ai-je un quelconque recours pour harcĂšlement moral ou autre? J’ai peur qu’ils me laissent en plan et m’obligent Ă  finir par dĂ©missionner. Merci d’avance pour vos conseils. Que faire si jamais ils reviennent sur leur dĂ©cision? Bonjour, En thĂ©orie, la dĂ©cision de l'employeur ne peut pas ĂȘtre prise avant les 2 jours qui suivent l'entretien prĂ©alable pour un Ă©ventuel licenciement. Vous ne pouvez donc pas dire que l'employeur reviendrait sur sa dĂ©cision ! L'entretien est justement fait pour que le salariĂ© s'explique sur ce qui lui est reprochĂ©. C'est seulement aprĂšs que l'employeur dĂ©cide s'il sanctionne ou pas. Donc au niveau ou vous en ĂȘtes, l'employeur peut tout Ă  fait dĂ©cider de laisser sans suite la procĂ©dure engagĂ©e. Bonjour, Mon but n'est pas de vous culpabiliser mais si vous vouliez vous faire licencier, quitte Ă  le contester aprĂšs, je ne comprends pas que vous ayez essayĂ© de vous dĂ©fendre aussi bien et de contester le motif invoquĂ© par l'employeur qui semble effectivement fragile, ce que vous lui avez peut-ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ© au point qu'il renonce Ă©ventuellement Ă  son projet... En l'occurrence, il ne s'agirait normalement pas d'un licenciement disciplinaire mais pour insuffisance professionnelle... __________________________Cordialement. Merci pour votre rĂ©ponse pmtedforum. J'avais cru comprendre que l'entretien prĂ©alable Ă©tait pourtant l'occasion d'argumenter et de montrer que la dĂ©marche de mon employeur n'Ă©tait pas justifiĂ©e. Par contre effectivement je commence Ă  me demander si je n'aurais pas dĂ» me contenter d'argmuents oraux, sans Ă©voquer l'existence de preuves matĂ©rielles de ma bonne foi... J'avoue que je ne sais pas quoi faire Ă  prĂ©sent, Ă  part attendre et espĂ©rer qu'une lettre de licenciement arrive enfin. Je ne me vois pas rester dans de telles conditions, je crois que je ne serai pas capable de supporter ça moralement. Ce que je trouve injuste, c'est que si toutefois ils renoncent, si j'ai bien compris, je ne pourrai plus rien faire contre eux malgrĂ© les tentatives d'intimidation qui ont prĂ©cĂ©dĂ© la mise en route de la procĂ©dure officielle de licenciement ? ils ont quand mĂȘme essayĂ© de me faire accepter une rupture conventionnelle de maniĂšre tout Ă  fait officieuse, et m'ont demandĂ© de rester chez moi pendant 2 jours sans aucune raison officielle Bonjour, C'est le but de l'entretien prĂ©lable que la salariĂ©e puisse s'expliquer, mais si elle ne le souhaite pas, Ă©ventuellement par stratĂ©gie, personne ne l'y force et mĂȘme sl elle ne s'y prĂ©sente pas, cela n'empĂȘche pas la procĂ©dure de se poursuivre... Je ne sais pas si vous avez la preuve Ă©crite que l'employeur ait en quelque sorte refusĂ© de vous fournir du travail pendant deux jours... De toute façon il ne servirait Ă  rien maintenant d'anticiper ce qui pourrait arriver, sauf Ă©ventuellement de demander au DĂ©lĂ©guĂ© du Personnel un compte-rendu de l'entretien prĂ©alable s'il ne vous l'a pas proposĂ© Ă  moins que lui aussi prĂ©fĂšre attendre la suite... __________________________Cordialement. Je suis pour ma part dans une situation similaire, Ă  ceci prĂšs que, malgrĂ© de bons rĂ©sultats, mon supĂ©rieur hiĂ©rarchique me dĂ©teste. Je crois que je ne flatte pas assez son Ă©go. J'ai des preuves de harcĂšlement, ai Ă©tĂ© convoquĂ© Ă  une entretien prĂ©alable il y a trois semaines... mais pas de suite Ă  ce jour car je viens d'obtenir un nouveau contrat important. Je suis toujours dans l'entreprise et il fait "comme si de rien n'Ă©tait" puisqu'il perdrait beaucoup Ă  me licencier sans motif et que je suis en mesure de dĂ©montrer son harcĂšlement. C'est assez invivable effectivement, surtout face aux clients et aux collĂšgues. Je pense Ă  la rĂ©siliation judiciaire mais cela peut durer, durer, durer, ce n'est donc pas une solution viable puisque le but est de faire cesser ce sketch sans dĂ©lai. Plus globalement, le droit du travail prĂ©voit le droit de retrait si l'on perçoit un "danger grave et imminent", par exemple pour sa santĂ©. Mais si on privilĂ©gie le combat Ă  l'abattement, simplement pour empĂȘcher que pareille situation ne se reproduise, alors on n'est pas "suffisamment en danger" au regard de la loi. En bref, on peut mettre un terme aux prud'hommes Ă  une situation dĂ©lĂ©tĂšre que si l'on est malade et abattu, pas si on rĂ©siste Ă  la pression morale. L'alternative est de partir dĂ©mission ou rupture conventionnelle mais rien n'empĂȘchera ce supĂ©rieur de se trouver une autre victime. Or, ce irresponsable doit ĂȘtre sanctionnĂ©. Bonjour, Pour une meilleure comprĂ©hension, il serait prĂ©fĂ©rable d'ouvrir un nouveau sujet... __________________________Cordialement. Jai pris une tĂ©lĂ© en destination des encombrants car mon travail a refait un nouveau bĂątiment et a donc jeter toute c tĂ©lĂ© j'en ai rĂ©cupĂ©rĂ© une en la mettant dans ma ci Ă©tait toute poussiĂšrĂ© et sans la prend un diamnche soir et le lundi matin j'allais prĂ©venir ma chef que je les prise et je me suis rĂ©tractĂ© je les remise a sa nai rien pris. Je suis convoquĂ© pour une entretien mars. J'ai commis quoi comme Faute?. Cette tĂ©lĂ© allait finir aux encombrants de toute niveau travail ils n'ont rien a me reprocher. Vais je ĂȘtre licenciĂ© ?. Bonsoir GĂ©nĂ©ralement un entretien prĂ©alable est destinĂ© Ă  Ă©voquer le licenciement. Faites vous assister par un conseiller du salariĂ©. __________________________Tout visiteur Ă  droit au respect et attend des infos objectives centrĂ©es sur son sujet ... Incriminer, blĂąmer, critiquer, est intolĂ©rable et prĂ©judiciables pour Legavox. Toute contrevenance est effaçable. Merci Ă  tous d’ĂȘtre attentifs. 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TÉMOIGNAGES - Depuis le dĂ©but de semaine, les mesures de confinement se multiplient dans les entreprises dont des salariĂ©s reviennent de zones touchĂ©es par le coronavirus. Des personnes contraintes de rester Ă  la maison nous rentrĂ©e de vacances, elle a Ă©tĂ© priĂ©e de rentrer chez elle. Marie*, qui travaille dans un grand groupe français, n’est pas malade. Elle n’a pas posĂ© de congĂ©s supplĂ©mentaires, et aurait bien aimĂ© travailler. Mais voilĂ  la semaine derniĂšre, elle est partie en Toscane avec son conjoint et son bĂ©bĂ©. "Les derniers jours de notre sĂ©jour en Italie, on a vu qu’il y avait des foyers contaminĂ©s en Lombardie et VĂ©nĂ©tie, raconte-t-elle. Mais ce n’était pas en Toscane, cela ne nous a donc pas trop prĂ©occupĂ©s. C’est mardi aprĂšs-midi que j’ai vu l’alerte en Toscane, avec un cas Ă  Florence. J’ai jouĂ© carte blanche, je suis allĂ©e voir ma supĂ©rieure, qui m'a renvoyĂ©e vers l’infirmerie." L’infirmiĂšre du travail lui donne alors un masque, et lui Ă©dicte les "mesures parapluie" "En gros, c’était prenez vos affaires, et rentrez chez vous, appelez le 15 et ils vous expliqueront la marche Ă  suivre." Marie a ensuite un mĂ©decin au tĂ©lĂ©phone, qui lui dit d’abord de retourner travailler, munie d’un masque et d’un gel hydraulique. Mais son entreprise applique des consignes plus drastiques, en lien avec les recommandations Ă©dictĂ©es par le ministĂšre de la SantĂ© toutes les personnes qui reviennent de foyers contaminĂ©s doivent rester chez elles. Marie, un peu dĂ©semparĂ©e, tente de rappeler le Samu le soir. "J’ai mis deux heures Ă  avoir un mĂ©decin qui, lui, m’a dit de me mettre en quarantaine."Confinement et paradoxesCar la fin des vacances et la propagation des foyers soumettent les entreprises Ă  un dĂ©fi qu'elles n'ont pas vu venir que faire, avec les salariĂ©s qui, pour le travail, ou parce qu’ils sont partis en vacances, ont Ă©tĂ© dans une zone qui s’est retrouvĂ©e touchĂ©e par le coronavirus ? Chaque entreprise est libre de ses dĂ©cisions, les autoritĂ©s demandant seulement de privilĂ©gier le les entreprises face au risque de contaminationSource TF1 InfoLire aussiCertaines, comme celles de Marie, optent pour les mesures drastiques elles prient les salariĂ©s qui ont frĂ©quentĂ© des lieux de foyer dĂ©clarĂ©s de rentrer chez eux, pendant 14 jours Ă  compter de leur date de retour, soit le temps d’incubation de la maladie. Ce qui n’est d’ailleurs pas sans poser de problĂšmes
 Serge* revenait ainsi d’un dĂ©placement professionnel Ă  Venise. Il est rentrĂ© lundi 17 fĂ©vrier dernier. A l’époque, l’Italie n’avait pas encore de foyers de coronavirus dĂ©clarĂ©s. Il a donc repris le travail normalement. Mais c’est en ce dĂ©but de semaine que son employeur a mis en place des mesures prĂ©ventives, et qu’il a dĂ» rentrer chez lui. "J’ai appelĂ© le Samu, mais n’ayant aucun symptĂŽme, pas d’arrĂȘt de travail", dit-il. "Je suis donc considĂ©rĂ© comme Ă©tant en tĂ©lĂ©travail." Sauf qu’il avoue n’avoir pas la moindre mission ou consigne. Et pour cause son job est difficilement faisable en tĂ©lĂ©travail. Il pourra revenir mardi prochain, le 15e jour aprĂšs son retour de Venise. Et s’il n’a pour l’instant pas grand-chose Ă  faire, il le vit "trĂšs bien" "C’est mercredi, je vais pouvoir m’occuper de mes enfants !"Marie, elle, vit moins bien la situation. "C’est compliquĂ© car on navigue dans une espĂšce de flou, on ne sait pas trĂšs bien ce qu’il faut faire", raconte-t-elle. Son RH le lui a assurĂ© au tĂ©lĂ©phone elle doit rester en isolement et ne revenir que le 10 mars. "Le seul problĂšme, c’est que je n’ai pas d’arrĂȘt de travail car le mĂ©decin a refusĂ© de m’en donner, et que mon travail ne peut pas ĂȘtre fait Ă  distance." D'ailleurs, elle a Ă©tĂ© remplacĂ©e en urgence sur son poste. Et avec les retours de vacances de fĂ©vrier, la situation risque de continuer Ă  prendre au dĂ©pourvu de nombreuses directions. Des grands groupes ont commencĂ© Ă  prĂ©venir en interne leurs salariĂ©s, leur faisant suivre les mesures de prĂ©cautions Ă©dictĂ©es par le ministĂšre de la SantĂ©. "Il va sans doute y avoir beaucoup d’autres cas comme moi", dit Marie. "Car il y a des foyers qui se dĂ©clarent une fois que tu es revenu, j’ai vu comme ça qu’il y en avait en Espagne
 Tous les gens qui sont partis peuvent donc ĂȘtre contaminables ou contaminĂ©s." Le paradoxe est que, comme Serge, elle est tout de mĂȘme venue travailler en dĂ©but de semaine. "Si on voulait faire les choses bien, il faudrait confiner toute l’équipe avec laquelle je travaille. Mais alors ça devient compliquĂ© pour l’entreprise !" Sur le plan du financement aussi. Un dĂ©cret publiĂ© le 1er fĂ©vrier prĂ©voit jusqu’à 20 jours d’indemnitĂ©s journaliĂšres pour les personnes contraintes de rester chez elles. Mais pour les salariĂ©s qui n’ont pas d’arrĂȘt maladie, car pas de symptĂŽmes, et sont pour autant inutiles en tĂ©lĂ©travail, la situation est particuliĂšre et les RH font face Ă  un vĂ©ritable flou. D’aprĂšs les tĂ©moignages recueillis, les salariĂ©s envoyĂ©s en quarantaine ont Ă©tĂ© assurĂ©s d’ĂȘtre payĂ©s. Mais tout tient en un Ă©change de paroles. Avec un masque dans la rue, tu as des regards interrogateurs, qui se demandent si tu as vraiment quelque choseMarie, qui revient de ToscaneMarie dĂ©couvre Ă  mesure toutes les contraintes qu’impliquent cette vie en confinement. Il y a la nĂ©cessitĂ© de surveiller sa tempĂ©rature deux fois par jour, de porter un masque en dehors du domicile, mais aussi dans le foyer. Et de rĂ©duire les activitĂ©s "non indispensables", d’éviter les lieux publics. De tout cela dĂ©coulent des consĂ©quences en chaĂźne. Son compagnon est formateur, et travaille en indĂ©pendant. Il devait intervenir cette semaine dans une entreprise, Ă  Caen. "Il a tĂ©lĂ©phonĂ© au client, il a jouĂ© carte blanche. Ils se sont laissĂ©s l’aprĂšs-midi de rĂ©flexion et lui ont dit "tu arrĂȘtes la formation ce soir par prĂ©caution et tu rentres chez toi". ChĂŽmage technique. Cette affaire de masque, aussi, est compliquĂ©e. "J'ai un bĂ©bĂ© de neuf mois. Je porte un masque, elle n’arrĂȘte pas de me l’enlever", dit Marie. "J'ai fait six pharmacies avant de trouver des masques, ils sont en rupture de stock". Quand elle a fini par en trouver, elle tique sur le prix "Six euros l'unité  Sachant que c’est sensĂ© s’utiliser comme un kleenex, qu’il faut en changer tous les jours, cela reprĂ©sente un beau budget !"Tout prend des proportions Ă©normesMarie, qui revient de ToscaneSurtout, Marie s’aperçoit que "tout prend des proportions Ă©normes", et les questionnements se multiplient Ă  l’infini "Mon compagnon a un fils qui n’est pas parti avec nous Ă  Florence. Mais on l’a vu lundi, avant de savoir
 Est-ce que du coup il doit continuer Ă  aller Ă  l’école ? Et puis il est venu avec un copain. J’ai dĂ» appeler ses parents, pour prĂ©venir. Le mĂ©decin du Samu nous a dit que ça ne posait pas de danger. Mais d'autres praticiens que je connais m’ont dit que potentiellement, comme ces enfants ont Ă©tĂ© en contact avec nous, ils ne devraient normalement pas aller Ă  l’école
 Donc on patauge, on faut comme un peu, c’est trĂšs compliquĂ©." Marie fait aussi partie d’une compagnie de danse. Dimanche prochain, elle devait se produire lors d’un spectacle. "J'ai envoyĂ© un texto au groupe en demandant ce que je faisais
 Je pense que je vais m’exclure car normalement, je dois Ă©viter tous les lieux de foule. Alors une scĂšne de spectacle
 !" Tout le monde tĂątonne, partout, les directives sont diffĂ©rentes d'un interlocuteur Ă  l'autre "Par exemple, la crĂšche. On les a prĂ©venus, ils ont appelĂ© le mĂ©decin rĂ©fĂ©rent, qui a dit 'si n’elle est pas revenue par Milan ou Venise, c’est bon'. Nous avons tout de mĂȘme dĂ©cidĂ© de ne pas mettre notre fille Ă  la crĂšche par mesure de prĂ©caution." Sauf que si chacun "joue le jeu" du confinement jusqu’au bout, cela peut devenir sans fin. "Le vrai problĂšme, c’est qu’on en n’est qu’au dĂ©but", dit Marie. "Des foyers sont en train de se dĂ©clarer un peu partout. Et cela va ĂȘtre trĂšs compliquĂ© au niveau des entreprises de tenir ces systĂšmes de quarantaine Ă  un moment donnĂ©, il n’y aura plus personne ! Mais tout le monde est dans une situation inĂ©dite, du coup c’est compliquĂ©." * Les prĂ©noms ont Ă©tĂ© LAURENTSur lemĂȘme thĂšmeToutTF1 InfoLes + lusDerniĂšre minuteTendanceVoir plus d'actualitĂ©s Voir plus d'actualitĂ©s 10Qu'est-ce qu'un "Impact Positif" ?PubliĂ© le 22 septembre 2020 Ă  16h48Voir plus d'actualitĂ©s Votre employeur souhaite modifier vos horaires de travail, en a-t-il le droit? Oui, mais Ă  certaines conditions. Votre employeur souhaite modifier vos horaires de travail, en a-t-il le droit? Oui, mais Ă  certaines conditio La premiĂšre question Ă  se poser est de savoir si vos horaires de travail sont contractualisĂ©s, c'est-Ă -dire si vous et votre employeur avez dĂ©cidĂ© de faire de vos horaires de travail une condition essentielle de votre embauche. Si vos horaires de travail sont mentionnĂ©s dans votre contrat de travail, et sous rĂ©serve de la rĂ©daction de la clause, il peut ĂȘtre considĂ©rĂ© que vos horaires ont Ă©tĂ© contractualisĂ©s. Dans ce cas, votre employeur ne peut y apporter de modification qu'avec votre accord. Si vos horaires ne sont pas contractualisĂ©s, le principe veut que votre employeur soit libre de les modifier Ă  sa guise, sans avoir besoin pour cela de requĂ©rir votre accord. Mais comme tout principe appelle des exceptions, l'employeur voit sa libertĂ© restreinte l'employeur ne peut librement modifier vos horaires de travail que si cela n'entraĂźne pas un bouleversement de l'Ă©conomie du contrat. Il faut entendre par cela que la modification des horaires entraĂźne un changement radical dans le rythme de travail qui Ă©tait le vĂŽtre auparavant. Il a ainsi Ă©tĂ© jugĂ© que le passage d'un travail de jour Ă  un travail de nuit, et inversement, constitue une modification du contrat de travail. Il en est notamment de mĂȘme du passage d'un horaire continu Ă  un horaire discontinu, et inversement. Votre employeur doit alors solliciter votre accord. Cet accord doit ĂȘtre explicite. Il ne peut notamment se dĂ©duire du fait que vous ayez continuĂ© Ă  travailler aux conditions modifiĂ©es. En cas de refus de votre part, votre employeur devra alors faire un choix soit renoncer Ă  la modification envisagĂ©e soit vous licencier. Mais dans ce cas, votre refus ne peut justifier Ă  lui seul le licenciement. Il faudra alors Ă  votre employeur invoquer le motif pour lequel il vous a proposĂ© la modification de vos horaires de travail. Si votre employeur ne prend pas la peine de solliciter votre accord, il commet un manquement grave Ă  ses obligations, qui vous donne la possibilitĂ© de prendre acte de la rupture de votre contrat de travail Ă  ses torts ou de saisir le Conseil de prud'hommes d'une demande de rĂ©siliation judiciaire de votre contrat de travail. Pour en savoir plus sur ces modes de rupture du contrat de travail, voir l'article correspondant. Posez gratuitement toutes vos questions sur notre forum juridique. Nos bĂ©nĂ©voles vous rĂ©pondent directement en ligne.

mon employeur me dit de rester chez moi